La Pulpeuse
Gourmande, peu alcoolisée, française, pepsy, look rétro ...
Une gourmandise acidulée à siroter
Une robe transparente avec des reflets lactescents. Un puissant parfum de citron et une pointe de yuzu. Fermez les yeux… une attaque citronnée très gourmande sur le sucre puis une jolie acidité équilibrée en alcool, avec une finale légèrement mandarinée ? C’est bien une Pulpeuse que vous sirotez.
Un citron frais à croquer !
Sa recette, à base de citron avec une pointe de yuzu, lui confère un croquant sans pareil. La Pulpeuse offre une gourmandise ensoleillée qui s’équilibre à merveille avec une fraicheur acidulée et se termine par la douceur mandarinée tout en finesse du yuzu. Un bouquet tonique d’agrumes et de fraicheur !
Une crème de citron légère en alcool, à la française
Comme sa grande sœur La Mentheuse, La Pulpeuse est légère en alcool avec ses 15 petits degrés et ne fait donc pas partie de la famille italienne des limoncellos plus corsés en alcool. Sans colorants, à base de distillats de citron et de yuzu, elle affiche une robe transparente, légèrement trouble (c’est naturel !) dans sa jolie bouteille Belle Époque. Vous apprécierez son petit caractère bien français et sa balance subtile entre le sucre et l’acidité.
Un pousse-café réconfortant
Réconfortante, La Pulpeuse réchauffe les cœurs en fin de repas et se partage avec vos proches comme un secret de famille bien gardé. Clin d’œil à l’enfance, sa bouteille Belle Époque, perlée comme une glace attire toutes les générations de votre tablée, en âge de siroter un digestif. C’est la recette infaillible pour finir la soirée en bonne compagnie. Le petit chic français de la fin d’un repas décontracté avec vos amis.
Comment la savourer ?
Idéale en digestif avec sa tonalité sucrée, elle peut aussi se servir en apéritif sous forme de cocktails.
Qu’elle soit consommée en long ou short drink, afin de délivrer tous ses arômes, elle se doit d’être toujours servie extra fraîche (entre 8 et 12 degrés de température) ! Par contre, sachez que le congélateur lui est fortement déconseillé au risque d’abîmer sa belle robe.